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En URSS, Les Maris Ne Donnaient Ces Choses à Leurs Femmes Que Pendant Les Vacances
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Vidéo: En URSS, Les Maris Ne Donnaient Ces Choses à Leurs Femmes Que Pendant Les Vacances

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Anonim

7 choses que les maris donnaient à leur femme en URSS uniquement lors de grandes vacances

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À une époque où la chose n'était pas achetée, mais «obtenue», les femmes ne recevaient ces cadeaux que lors des grandes fêtes.

Parfum français

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En URSS, le choix des parfumeries était rare. L'assortiment proposait des produits de production locale et pas toujours de qualité décente.

Le rêve ultime des femmes était les cosmétiques de Lancôme et d'Estée Lauder. Et le "vrai" parfum français était associé à une vie luxueuse.

Opium d'Yves Saint-Laurent a été créé en 1977. Son auteur était Yves Saint Laurent.

Aujourd'hui, beaucoup trouveront son odeur écoeurante et intrusive. Il avait un caractère oriental prononcé, des notes d'épices et de fumée d'opium étaient clairement ressenties.

J'ai Ose de Guy Laroche est mis en vente en 1978. Leur parfum appartenait au groupe floral oriental.

Le fond a été créé par des notes de rose, de cèdre, de jasmin, de bois de santal. Le sillage sentait la pêche, l'orange, la coriandre.

J'ai Ose de Guy Laroche était particulièrement aimé des femmes soviétiques. Ils aimaient particulièrement les jeunes filles.

L'Air du Temps de Nina Ricci est sorti en 1948, mais est apparu en Union soviétique beaucoup plus tard. Ils avaient un arôme riche, qui était dominé par des notes de jasmin, d'oeillet, de bergamote, d'iris, de rose.

Ce parfum a été présenté aux femmes d'âge moyen et âgé. Une bouteille avec le couvercle légendaire en forme de deux colombes était appréciée en URSS pour son poids en or.

Collants nude

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Les premiers collants sont apparus dans les années soixante du siècle dernier. Ils étaient de couleur chair et chers: de 10 à 25 roubles. Le salaire à l'époque était de 100 roubles.

Il y avait une blague en URSS selon laquelle seules les femmes très riches peuvent se permettre de porter des collants pour le travail, et non les vacances.

Montre "Chaika"

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Dans les années quatre-vingt, l'industrie horlogère de l'URSS atteint son apogée. La majeure partie de la production était exportée. Plus d'attention a été accordée à sa qualité que les montres destinées au marché intérieur.

Pour cette raison, ils ont essayé d'offrir aux femmes des montres "Seagull" en guise de cadeau. De plus, les lots expérimentaux de montres étaient particulièrement appréciés, il était pratiquement impossible de les acquérir en vente libre sans "connaissance" et "chapeau".

Chapeau de fourrure

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En Union soviétique, il n'y avait pas de concept de mode de créateur. Les vêtements étaient d'une coupe unifiée et de couleurs monochromes et ternes.

Le désir des femmes soviétiques de changer leur apparence et de la rendre plus élégante est compréhensible. Le «point culminant» des vêtements d'hiver était un chapeau de fourrure.

Les chapeaux en renard polaire, en renard brun noir et en fourrure de vison étaient considérés comme particulièrement à la mode. Leur prix a atteint 400 roubles. Et par conséquent, ils n'étaient pas seulement un élément de vêtements chauds, mais mettaient également l'accent sur le statut social du propriétaire.

Manteau en cuir à la mode

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Dans les années 80, les modèles de vêtements d'extérieur en cuir véritable sont devenus à la mode. Les femmes préféraient les produits italiens et finlandais.

Ils étaient très chers et les hommes ne pouvaient faire un tel cadeau que les soirs solennels.

Sac en cuir véritable

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En URSS, le choix de la maroquinerie était rare. En vente ont été présentés des sacs en cuir et similicuir, toile. Ils avaient tous presque le même design ennuyeux.

Les femmes soviétiques ne pouvaient même pas rêver de sacs de la collection Chanel ou Dior. Les modèles tchécoslovaques étaient la limite des désirs. Les jeunes femmes «chassaient» les sacs en cuir vietnamiens colorés.

Poudre ou rouge à lèvres français

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Chaque femme soviétique rêvait d'avoir de la poudre, du mascara ou du rouge à lèvres de marques françaises comme Louis Philippé, Dior, Lancôme dans son sac à cosmétiques. Mais il était difficile pour les hommes d'acheter un tel cadeau de beauté pour leur femme.

Les cosmétiques français apparaissaient rarement sur les comptoirs des départements de parfumerie des magasins de Moscou, et ils n'étaient pas du tout fournis aux régions. Et si une femme recevait en cadeau la boîte à poudre convoitée avec l'image d'une rose dorée ou un tube de rouge à lèvres de Dior, alors elle pouvait être sûre que son mari l'aimait et n'épargnait ni son temps ni son argent.

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